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Le regard de ce photographe, c'est la recherche permanente d'une lumière imparfaite et de coins urbains solitaires qui invoquent la magie du film noir. Pour y parvenir, il recherche des conditions météorologiques et lumineuses que la plupart des photographes jugeraient loin d'être idéales. Nicolas Miller photographie dans des conditions de fortes pluies ou dans un brouillard profond. Passé à la photographie depuis peu, il impose très vite ce style résolument identifiable. 

Les silhouettes de Nicolas Miller

«J'adore capturer des sujets isolés marchant dans la grande ville. Ils mettent en valeur la petite taille de l'homme par rapport aux constructions humaines gigantesques. Ils expriment également la solitude que ressentent beaucoup de gens malgré le fait qu'ils vivent dans de grandes villes parmi des millions d'autres.» dit-il.

Le travail de Nicolas Miller est qualifié de néo-noir que l'on pourrait définir comme une renaissance du genre du film noir appliqué à la photo. Une façon à la fois nouvelle et classique de photographier l'ombre en contraste des silhouettes. On pense bien sur à un récit et une quête. 
Nicolas Miller vit à NY et semble raconter l'histoire de sa ville, une autre histoire que l'image d'une Amérique dorée, celle des rues sombres, de l'isolement et de la déréliction de ses habitants.  

On peut suivre son  travail sur Instagram

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