top of page
Vertige acrylique sur toile 1m X 1 m / 2003
Quelques toiles
de la figuration narrative.
Dés les années 1980, les premières peintures furent constituées de toiles réalistes en noir et blanc au format 1,00 x 1,00 m pour la plupart et présentées à Tour, Caen et au Musée de Vire en 1983, dans le cadre d'une exposition sur la figuration narrative au coté de Cuecco, Erro, Klasen, Rancillac et la jeune génération du mouvement. Pour ma part, les thèmes sont urbains, nocturnes et sociaux. Les premières oeuvres ont pour objectif de témoigner d'une époque d'images festives et déchirées mais pleine de vie et d'amour où défile en clip sur MTV : la chute du mur de Berlin, les victimes du sida, la catastrophe de Tchernobyl, et Milan Kundera publiant : L'Insoutenable Légèreté de l'être !
Le dernier train (4 Aout 1982
Mauvais genre. 1985
Rester calme 1987
Le cri 1990
Soyons iréalistes 1981
Les Années 2000
La série : un monde sans taches
C'est une période de tumulte et de guerre qui s'impose, des silhouettes font leur apparition et témoignent d'un monde de vertige. Telle la toile (le 12 septembre) au lendemain du drame des Twins Towers qui fut le premier attentat de l'histoire vu quasiment en direct dans le monde entier). Le réalisme devient virtuel et la civilisation entre en tempête dans le nouveau siècle.
O nosso dever de falar 2003
Ce n'est qu'à partir de 2009 et aprés une série de portrait pensé comme des récits que va naitre l'idée de dépeindre et capturer les témoignages autant que l'image pour la série silhouettes...
3 portraits : Florence R, la faiseuse de chansons et Marion la fille que l'on n'entend jamais à la radio.
Le 12 septembre 2001
Seule 2006
Portrait de Joanne D
bottom of page